Si on trouve des perturbateurs endocriniens un peu partout, comment peut-on faire pour les faire disparaitre de notre quotidien ? 

On vous a fait peur avec notre précédente chronique sur les perturbateurs endocriniens ? Pas de panique ! Si ces substances sont bel et bien dangereuses pour la santé et l'environnement, il existe néanmoins des solutions pour les éviter au maximum. Et ça commence par ce qu'on met dans notre assiette !

Voici trois conseils food à appliquer sans attendre :  

  • Privilégier le bio : certes, cela demande souvent un budget un peu plus élevé, mais acheter des fruits et légumes bio est la façon la plus efficace de se protéger des pesticides ! 
  • Optez pour des fruits et légumes de saison : au-delà d'être plus riches en goûts et en nutriments, les fruits et légumes de saison offrent l'avantage d'avoir moins besoin de pesticides. En effet, les tomates et autres concombres nécessitent forcément d'un petit coup de boost chimique pour réussir à pousser en plein hiver, loin du soleil qui leur est cher, tandis que les choux et poireaux se sentent à cette saison, comme des poissons dans l'eau !
  • Choisissez les légumes les moins riches en pesticides : en février 2018, l'ONG Générations Futures a sorti un rapport indiquant le taux de pesticides selon les fruits et légumes. Autant dire qu'il est plutôt alarmant, mais permet de savoir quels sont les aliments à privilégier en bio, et ceux pour lesquels on peut acheter en agriculture conventionnelle, faute de budget. Les raisins, les clémentines, les pamplemousses ou le céleri ont par exemple montré des quantités inquiétantes de résidus de pesticides. Les fruits et légumes les moins contaminés sont le maïs, les kiwis, les asperges, les betteraves, les choux fleurs ou encore les avocats. Retrouvez le détail des résultats dans cet article du Monde ou en téléchargeant le rapport

Alors, prêt(e) à chasser les perturbateurs endoctrines de votre assiette ? 

 

 


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